AU DÉPÔT | Fritz Mayer van den Bergh dépensa en 1898 la plus haute somme de ses activités de collectionneur pour un magnifique livre de prières illustré : 35.500 francs belges, une fortune à l’époque. Il savait ce qu’il faisait : ce bréviaire est un véritable chef d’œuvre et il porte aujourd’hui son nom.