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Margot la Folle

Un film d’horreur en peinture

La célèbre toile de Pieter Breughel Margot la Folle ne cesse de fasciner. On y découvre toujours quelque chose de nouveau.

Pisser à la lune

AU DÉPÔT | Pieter Breughel aime les dictons, les expressions populaires. Et l’humour, comme en témoignent ces douze petites toiles qui constituent ensemble une de ses quelque 45 œuvres.

Le graveur

Le Musée Mayer van den Bergh possède une trentaine de gravures conçues par Breughel. Elles firent sa renommée. Ce n’est que plus tard qu’il se mit à la peinture…

Le bourgmestre et sa famille

EN PRÊT | La bonne bourgeoisie de nos contrées ne manque pas d’étaler son opulence au Siècle d’Or. Des portraits de famille de cette élégance sont un véritable symbole de statut social. Ceci est un exemple rigoureusement mis en scène.

Famille aisée

Il fallait être très riche au dix-septième siècle pour commander une série de portraits de sa famille à un peintre anversois de renom. C’était le cas de Joris Vekemans.

Miniatures rayonnantes

AU DÉPÔT | Fritz Mayer van den Bergh dépensa en 1898 la plus haute somme de ses activités de collectionneur pour un magnifique livre de prières illustré : 35.500 francs belges, une fortune à l’époque. Il savait ce qu’il faisait : ce bréviaire est un véritable chef d’œuvre et il porte aujourd’hui son nom.

Un autel de voyage

Les tableaux antérieurs à Jan van Eyck sont rares dans nos contrées, les chefs d’œuvre de l’époque bien conservés quasi-inexistants. Ces magnifiques petits panneaux rayonnants des environs de 1400 sont donc exceptionnels.

L’homme de douleurs

Le Christ blessé et ensanglanté montrant ses plaies et portant la couronne d’épines est une représentation très populaire dans l’art du bas Moyen-Age car elle est destinée à susciter la compassion.

Désespoir et douleur

Ce tableau est un concentré d’émotion. Jésus ensanglanté est descendu de la Croix et va être déposé dans sa tombe. Cette scène dramatique doit amener le spectateur à la compassion et la méditation.

Presque vraies

De petites crèches comme celle-ci se trouvaient généralement dans un couvent. Les sœurs les berçaient à l’époque de Noël, comme si elles contenaient vraiment un enfant.